Dora Snowboard Jeu
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Je t’appelle. Merci. Ça va ? Combien de fois je t’ai retrouvée à manger les croquettes du chien ? Un chien, c’est impur. Et ta peur du noir, quand tu dormais à l’hôpital ? Tu faisais peur aux infirmières quand tu étais cachée sous mon bureau. Tu t’en souviens ? Ça les faisait sursauter. D’accord, tu peux appeler Louis, mais seulement après que j’ai soigné ta main. Sérieux ? Dis rien. La mécréante nous écoute. Elle me séquestre chez toi. C’est mon père qui l’a aidée ? Putain… Il a foutu la merde dans notre réseau. T’inquiète pas, on est plus forts que ça. Salut, Chama. Ça va ? On vaincra, inch Allah ! Tu vois ? Tu es blessé ? C’est du sang, sur ta joue ? Ça ? Une égratignure. On a fait des prisonniers. Vous allez en faire quoi ? Tu es différent, làbas. T’inquiète. Toi aussi, tu deviendras meilleure. Je pense à toi. J’écoute ta musique en boucle. Tu écoutes ma musique ? C’est haram ! Juste la tienne. Ça change rien. Écoute le silence, si tu veux entendre Dieu. Les soeurs ont hâte de t’accueillir. Elles nous ont préparé la chambre la plus confortable. Tu m’avais dit qu’on aurait une maison. Une maison à nous ? Mais tu vas voir, ce sera mieux. Ce sera plus simple, pour t’occuper des enfants. M’occuper des enfants ? Je pensais avoir un vrai rôle. C’est un vrai rôle. Les soeurs s’occupent aussi de trouver des fidèles sur Internet. Tu vas voir, tu feras ça très bien. Mais moi, je préférerais… Je sais pas… témoigner, me battre. Il faut que j’y retourne. Pense à ce que j’ai dit. Tu comptes m’amadouer ? Vous vous aimez. Louis a sa place près de toi. Abderrahmane. Tu sais que si tu pars làbas, tu ne reviendras pas. C’est mon fils. J’irai jusqu’au bout. Comment tu vas faire ? C’est mon problème. Bon courage. Tiens. C’est quoi, encore, ce plan ? J’ai une surprise pour toi. Yas ! Je suis contente de te voir. Pas trop dure, la vie ? C’est Guantanamo. Attends. On attend encore quelqu’un. Tiens. Tu as maigri, toi. Je viens te préparer ton plat préféré. N’imagine pas que j’ai oublié cette histoire de poupée sans visage. Allez, embrassemoi. Quand tu te décideras, je serai là. Mets un peu d’eau, pour humecter le… Où tu vas ? Non, mais… Pas comme ça. Comme ça. La cuisine et toi, ça fait deux. Je peux plus t’apprendre, maintenant. Je sais, c’est trop tard. Je t’assure, ça fait des mois qu’il l’affichait. D’un coup, il l’a pécho. Tu aurais dû voir sa tête. On est rentrés à h du mat’, meuf. Tu nous as vraiment manqué. Tu devrais plus aller en boîte. Arrête, Cham. Tu aurais préféré t’éclater plutôt que de te faire buter. Cassetoi. Il y en a vraiment marre. Si je pars, tu me reverras jamais. C’est moi, la radicale ? Comment se passe le conservatoire ? C’est chaud. J’ai mon audition dans un mois. J’entraîne ma voix chaque jour. Attends, je vais en remettre. Prêtemoi ton téléphone. Tu lâches rien, toi. Je l’ai laissé chez moi : ordre de ta mère. Il est super bon, votre couscous. C’est meilleur qu’une pizza orientale. Tu sais, Cham, si je foutais autant mon bordel, pas sûr que ma mère s’arracherait comme ça. Souvienstoi : le pire des poisons n’est pas celui qui tue, mais celui qui rend ignorant. Et tu finis mon couscous, hein ? On se revoit bientôt. Tu promets ? Dès que j’arrive au califat, je te fais venir. On vivra au paradis. Avec les e ou e épouses et des tas de mômes ? C’est pas mon destin. C’était pas le tien non plus. On va courir ? Moi aussi, j’ai besoin de bouger. Fais gaffe, je suis meilleure. J’ai trop la dalle. Tu en veux ? Oui. Tu saignes du nez ? C’est rien. C’est juste un peu de fatigue. C’est quoi ? De la vitamine C. Ça me soûle quand tu mens. Quand tu as fait croire à ton prof que tu t’étais foulé le poignet, il était sceptique. J’étais médecin. Il a pas pu me contredire. Tu voulais pas mentir. Je l’ai fait pour te protéger, mon bébé. Je suis plus un bébé. Hélas. Vous ici ? Je récupère des affaires. N’entrez pas. Foutezmoi la paix ! Je pars chercher mon fils. Où il est ? On s’en fout ! Il est où ? Va dans la cuisine ! Dégage ! Va làbas ! De toute façon, on s’en va bientôt. C’est comme vous voulez. Pardon. Désolé. Voilà, désolé. C’est suicidaire, d’aller làbas.